Screlec fait partie des 13 éco-organismes qui agissent aujourd’hui en France pour la collecte et le recyclage de produits sous filières dites « REP » – Responsabilité Élargie des Producteurs. À but non lucratif, Screlec est agréé par les pouvoirs publics sur deux filières REP : les Piles et accumulateurs portables et les Cartouches d’impression professionnelles.
Deuxième éco-organisme à voir le jour en France, Screlec est devenu est un acteur historique de l’économie circulaire. Sa mission est une mission d’intérêt général : prendre en charge la fin de vie de ces déchets, depuis la collecte jusqu’à la réintégration des matières premières, c’est tout à la fois accompagner la transition énergétique et écologique, lutter contre le dérèglement climatique, préserver les ressources et sensibiliser les publics au geste de tri.
À l’origine de la solution de recyclage Batribox, Screlec copilote la filière française de collecte et de recyclage des piles et accumulateurs portables. En 2018, Screlec a collecté 5 189 tonnes de ces déchets par l’intermédiaire de sa solution Batribox. L’expertise de Screlec réside dans sa capacité à collecter les flux diffus de piles et petites batteries, par le biais d’opérations terrain réalisées main dans la main avec des acteurs publics et privés. L’organisation d’opérations événementielles telles que Piles solidaires ou 1 pile = 1 don, de l’énergie pour le Téléthon ! pour sensibiliser le grand public et notamment les écoliers à la collecte sélective contribue à cette dynamique.
Screlec a ajouté une corde à son arc en 2018, en s’engageant dans la prise en charge des cartouches d’impression professionnelles en fin de vie. Cette nouvelle activité qui s’inscrit dans une volonté de développer des synergies entre les flux de déchets, sera déployée par la solution de recyclage Colorbox, en miroir de Batribox. Ce déploiement sera réalisé sur des points d’apport réservés aux utilisateurs professionnels, en complémentarité des réseaux existants.
Ce positionnement bi-filière de Screlec l’a amené à s’institutionnaliser davantage et à renouveler sa charte graphique. L’éco-organisme est aujourd’hui tourné vers l’avenir, prêt à innover davantage et à se renouveler pour accompagner la transition vers l’économie circulaire.
